Beauté

Bye bye les poils avec Depiltech !

Aujourd’hui on va parler de poils… vous savez le truc qui pousse et qui repousse en masse. J’ai trouvé une solution radicale: l’épilation définitive avec Depil’Tech.

Je vais être complètement transparente avec vous comme à mon habitude. La vérité, rien que la vérité sur ce partenariat au poil!

Certains aimeraient en avoir au niveau de la barbe pour avoir l’air plus viril, d’autres aimeraient en avoir sur la tête, et puis il y a ceux qui veulent s’en débarrasser définitivement.

Je fais partie de cette dernière catégorie.

Les poils? J’en ai marre et avant de décider de passer à l’épilation définitive j’ai testé pas mal de choses.

L’épilation:

  • Pour celles qui n’ont pas beaucoup de poils et qui le font depuis qu’elles ont vu le premier poil sur leur corps apparaitre… ok on ne peut pas rivaliser.
  • Chochotte, me faire épiler le maillot c’est un peu comme décider de me faire un piercing au tétons… impossible quoi! J’ai même tenté à la pince à épiler, mais après m’être tuée le dos et passé 2h à la sdb, je n’ai pas eu le courage de recommencer.
  • Peau sensible… Pour les besoins d’un tournage j’ai survécu à l’épilation intégrale des jambes et bras en entier. Le soucis? J’ai fait une réaction allergique et donc un tas de boutons sont venus me pourrir la vie (ça gratte, c’est moche et du coup c’était mieux d’avoir un peu de duvet). Bon c’était pour une bonne cause…
  • Impatiente… pour pouvoir épiler, il faut d’abord que ça repousse. Imaginez une journée à la plage avec votre chéri et Disney Land sur votre corps car il faut attendre… le glamour est mort!

Le rasage:

Bref le plus simple et pratique pour les aisselles et ailleurs, ça a été le rasage. Pour le coup, pas besoin d’attendre la repousse, là c’est comme si vous aviez donné de l’engrais à vos poils. Ils poussent plus vite que la lumière, toujours plus durs, toujours plus loin. Autant vous dire que c’est pire que la mauvaise herbe.

Je n’ai plus vraiment envie de ressembler à un kiwi, ni de faire souffrir ma peau, alors j’ai sauté le pas…

Depil’tech bonjour!

Closeup shot of an unrecognizable woman shaving her legs in the bathroom at home

Pourquoi j’ai signé:

N°1 de l’épilation définitive.
Méthode de la lumière pulsée.
Un bilan et un suivi personnalisé.
Des explications claires sur le procédé.
Ma peau blanche et mes poils noirs s’avèrent être un point fort pour l’expérience.
Et surtout des copines m’ont prouvé les résultats sur elles.

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Au total il me faudra 6 séances. Jusqu’à destruction globale de tous les poils.

Bilan après la 1ère séance:

J’ai choisi de faire les aisselles et le maillot intégral. C’est assez rapide. Comptez globalement 1/2 heure sur place, dont une dizaine de minutes d’intervention sur les 2 zones.
– niveau douleur: cela s’apparente à des coups d’élastiques. Les aisselles c’est largement supportable. Vous sentirez le cochon grillé, mais après la séance pas de douleurs signalées. Pour ce qui est de la partie plus en bas c’est plus sensible.  Il parait qu’au gré des séances c’est de moins en moins douloureux, puisque de plus en plus de poils sont détruits.
Motivation! On pense à l’objectif final!

Après la 1ère séance et quelques jours avant la 2nde, je vois déjà des résultats significatifs. Bien 30 % des poils n’ont pas repoussés. Non je ne les ai pas compté, mais visuellement rien à voir par rapport à avant, donc je suis très motivée pour la suite.

Attention il faut bien respecter certaines règles comme:
– ne pas exposer au soleil les zones concernées un mois avant l’intervention
– raser la zone tous les 2 jours
– ne pas utiliser de produits à base d’huiles essentielles 1 semaine avant la séance
– certaines pilules peuvent également altérer les effets, puisque les hormones agissent sur les poils.

Lors de la 2nde séance, j’avais prévenu que je m’étais exposée au soleil durant le mois passé, par précaution on a effectué des flash-tests sur les différentes zones pour voir s’il n’y a pas de réaction. Verdict au bout de 48h, avec un RDV fixé la semaine suivante. J’ai apprécié à la fois la réactivité et la prudence de l’institut.

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